Sujet : Le grenier | | Posté le 24-02-2004 à 13:37:11
| Curieux, vous montez les marches grinçantes qui mènent au troisième étage. Très étroit, l'escalier monte en colimaçon; cette partie de la pension n'a pas l'air d'avoir été rénovée...vous arrivez enfin, presque essouflé face à une porte en bois sombre et vieilli par le temps. Allez vous entrer ? Oui, c'est pour ça que vous êtes venu...zut, la poignée est bloquée !! Vous appuyez encore et encore et c'est alors qu'apparait sur la porte ces écritures : "N'insiste pas...sauve toi pendant que tu le peux, imprudent!" Elle disparaissent petit à petit. Vous poussez à nouveau la poignée en retenant votre souffle. La porte s'ouvre et vous laisse face à la noirceur dévorante du grenier. Bizarre ce grenier : un couloir étroit, avec sur les paroies, des portes...une bonne dizaine... Que faites vous ?
Message édité le 24-02-2004 à 19:47:06 par Erwan |
| | Posté le 14-03-2004 à 10:51:04
| * Ah, me voilà bien avec 10 portes... J'aime pas du tout l'aura qu'a cette partie de la pension...Qui plus est, l'atmosphère est étouffante, il ne doit pas y avoir beaucoup d'oxygène...* Prudemment, il pénétra dans le sombre petit coridor. La porte par laquelle il était entrée se referma derrière lui dans un claquement sec mélé de grincements. Il fit un pas. Puis deux. Puis trois...et arriva face à la première porte. La main sur la poignée, il pensa : * quitte ou double...je n'ai plus de chance de salut! * Lentement, il la poussa........ [ Rwani, à toi de me dire ce qu'on y trouve !! ] |
| | Posté le 20-03-2004 à 20:56:03
| il suffoqua, de la vapeur s'échapa de la première piece. l'atmosphère y était brulante, mais Jack se sentait irrésistiblement emporté vers l'intérieur.....c'est alors ke la porte se referma derrière lui. la pièce degageait une lumière rouge; on avait du mal à y respirer et l'air brulait les poumons tellement il était chaud. Jack avança tout droit, presqu'à l'aveuglette. peu à peu, une ombre se forma entre les vapes de fumée; la silhouette d'une femme assise se dessina. le regard vide, elle regardait le visiteurs avec un petit sourire triste. [tu la connais, invente la suite. tout ce que je peux te dire c'est que cette fille est un souvenir... probablement douloureux. ] |
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